DESCRIPTADO – L'adjudication record à Londres d'un ouvrage de 1913 illustre l'engouement intact pour les œufs de Pâques des zars, qui allient valeur patrimoniale et rare sofistication.
« Probablemente el más bello de todos, un punto de vista artístico »juge un esthète bolchevique en 1922. Le constat est formulé par la Commission chargée de revendre l'Oeuf d'hiver. La révolution rouge, qui manquait de liquidités étrangères, dispersait les œufs de Pâques d'Alexandre III et Nicolas II. Un siècle plus tard, ce joyau en cristal de roche change à nouveau de main. Il vient d'être vendu à Londres pour 22,9 millones de libras (26 millones de euros alrededor). Résultat record qui grave un peu plus la légende Fabergé. Si la nacionalité de l'acheteur n'a pas été ébruitée, celle du vendeur était qatarie, rapporte la presse britannique.
« El valor intrinsèque matérielle de l'Oeuf d'hiver est assez faible, mais sa valeur patrimoniale est excepcional. Podemos hablar de un chef de obra con la razón de ser extremadamente sofisticación »resume Olivier Bachet, especialista en bisutería antigua y director de la Asociación Internacional de Joyeros Antiguos (IAJA). El avait adjugé de Christie's…




