
Faire davantage de sport, voir plus ses proches,
pesebre santo… Et si cette année, on se fichait (enfin) la paix ? les
buenas resolucionessouvent pris à la va vite pour répondre aux injonctions de la société, ne sont pas toujours bonnes pour notre santé mentale. Explicaciones.
Prendre des «bonnes résolutions» cada 1 de enero: une coutume qui persiste
Estos son los babilonios históricos, que ya tienen 4.000 años en el entorno, y comenzaron a asumir compromisos para la nueva generación. Estas «buenas resoluciones» están ligadas a la religión, a la mitología o incluso al poder. Aujourd'hui, esta práctica a perduré et nous algunos nombreux à vouloir devenir la mejor versión de nous-même en este debut de año. Sauf qu'entre vouloir et pouvoir, le fossé est grand. Arrêter de fumer ? Sí, pero con el estrés en la oficina, es evidente. ¿Las ventajas del deporte? Sí, si la planificación de tus tres hijos te permite hacerlo. Être plus résilient ? Oui, à condition de ne pas avoir d'épreuves difficiles à encaisser en este debut d'année.
Bref, vous l'aurez compris: bien que l'on soit plein de buena voluntad, esta lista de buenas resoluciones puede fondre comme neige au soleil en quelques semaines. Et ce ne serait pas si grave, según Amélie Boukhobza, psicóloga experta.
«S'autoriser à évoluer à son rythme»
Et si cette année, on tournait la page des bonnes résolutions ? C'est ce que nous propone Amélie Boukhobza, psicóloga clínica.
«Chaque mois de janvier, c'est la même rengaine, le même rituel: on se fixe des objectifs très, trop ambitieux, la plupart du temps totalement irrealistes, qui finissent par s'essouffler avant même que le mois ne se termine. Alors… pourquoi persister?», se questionne-t-elle.
Les bonnes résolutions se révèlent en effet être «une injonction déguisée«, precisa el especialista.
«On cherche à tout corriger d'un coup, à gommer tout ce qui ne va pas ou presque… : arrêter de fumer, perdre du poids,
reprender el deporteréduire l'alcool, manger mieux, contrôler ses émotions… Como si el simple pasaje a une nouvelle année suffisait à transform nos habitudes bien ancrées… Mais soyons honnêtes: changer, ça ne marche pas comme ça»,
currículum-t-elle.
Et si 2025 devenait l'année où l'on s'autorise enfin à évoluer à son rythme ? «Plutôt que de dresser una lista de «il faut» ou de «je dois», on pourrait réfléchir à ce qui nous tient vraiment à cœur. Pas ce que l'on pense devoir changer, mais ce que l'on a vraiment envie de faire évoluer», para el experto.
Parce qu'au fond, le changement d'année, c'est peut-être ça : «Una oportunidad de renovación, más sin presión. Juste une envie d'aller plus loin, à sa façon, et pour de vraies bonnes raisons«, concluye Amélie Boukhobza.
Fuentes
Entretien con Amélie Boukhobza, psicóloga clínica




