Spots éteints, caméra au cartel, perchman au repos: que reste-t-il d'un decor de cinéma quand le réalisateur a intimé un último « cupez » ? Debut en 2014, el fotógrafo Giasco Bertoli está en Nueva York, ville adorée, sur la trace de ces lieux débarrassés du bouillonnement des tournages.
L'Italo-Suisse en a conservé 45 tirages argentiques, doux et éthérés, baignés d'une lumière blanche. D'abord révélées dans una exposición à la galerie Nuke, à Paris, la misma año, estas imágenes sont aujourd'hui reunidas dans un beau livre, Ubicaciones, Nueva York, publicado por las ediciones 7L.
On s'y balade en admirant les lieux capturés, au rythme des souvenirs de cinéma qu'ils raniment. En la Grand Central Station, la estación ferroviaria de Jim Carrey y Kate Winslet prennent la tangente dans Eterno resplandor de una mente sin recuerdos (2004), de Michel Gondry, et où se déroule une fusillade avec Al Pacino dans El callejón sin salida (1993), de Brian de Palma.
« Un impacto enorme »
Al admirar un edificio del barrio de Meatpacking, encadré de ces inmensas bahías vitrées contre lesquelles le personnage de Michael Fassbender, adicto a las sensaciones érotiques fuertes, s'adonnait brutalement aux plaisirs de la silla dans Lástima (2011), de Steve McQueen.
Le resta el 68,57% de este artículo en liras. La suite está reservada aux abonnés.




