En el nivel mundial, las inversiones en las energías propias son en el día de hoy deux fois plus importants que ceux consacrés aux énergies fosilessegún la Agencia Internacional de Energía.
“Aujourd'hui, on peut parler de déploiement de technologies énergétiques propres en raison de su compétitivité-coût et de su capacidad à réduire les coûts des systèmes énergétiques”, explicó Robbie Orvis, director sénior de la modelización y del análisis del instituto de investigación de Innovación Energética. “Pour beaucoup d'entre elles, ce n'est même pas nécessaire de parler de climat, ce qui n'était pas le cas il ya dix ans.”
Las tendencias económicas de la última década son frappantes, un souligné Todd Stern, el enviado americano para el clima que negoció el Acuerdo de París.
Este tratado “a été perçu dans le monde entier, par d'autres pays, dans les conseils d'administration, comme la première fois en plus de vingt ans que les chefs de gouvernement disaient enfin: 'Oui, faisons-le'”, at-il mis en avant. “Et ce n'est pas la seule raison pour laquelle il ya eu un énorme développement technologique, mais cela n'a surement pas fait de mal.”
Además, existen límites a la capacidad de las empresas de menos tiempo para la transición a la energía propia.
“Il faut une sureme forme d'intervention gouvernementale, qu'il s'agisse d'un bâton ou d'une carotte, pour pousser l'économie vers une trayectoria bas carbone», estimé Andrew Wilson, secretario general adjunto de la Cámara de Comercio Internacional. “Si los gobiernos aplican el freno de la acción climática o comienzan a pisar el pedal suave, esto tendrá un efecto limitativo”.




