CRÍTICA – Le metteur en scène et director du théâtre, Julien Gosselin, a fait le pari de monter un long spectacle parcourant toute l'œuvre de l'écrivain. Un rodeo avec ses hauts et ses bas admirablement interpretado por los élèves du Conservatoire national de Paris.
L'Odéon-Berthier un été transformé en un espacio escénico bifrontal. Son 10 horas en este momento y los espectadores lo esperan, en su bolsa de dos, sándwiches, barquetas de tabulé o de granos germinados y calabazas. Ils se sont préparés pour le sacrificio. Dès l'entrée, on vous fixe un bangle jaune fluo au poignet sur lequel est inscrit: «Museo Integrado Duras». Il vous permettra, entre cada sesión, d'aller et venir. Reconocimientos del director de escena Julien Gosselin y director del Odéon con una determinación cierta: la creación de un espectáculo de diez horas con los élèves de la promoción 2025 del Conservatorio Nacional Superior de Arte Dramático de París.
Lors de ce marathon dividido en cinco estacionesnos asistieron con gafas dobles que nos dieron una visión de la trayectoria artística de la escritura «médiumnique». Les textes mis en scène furent écrits entre 1959 (Hiroshima mi amor) y 1988 (La vida matérielle). La messe nous cueille à froid. Los comediantes mezclados con algunos espectadores se dejan a lo largo de la escena. Una voz apagada repetida sin relajamiento mientras entramos en una pantalla de humo: « Acuéstate, acuéstate… » UNED « Cierra los ojos, cierra los ojos… » L'emprise opère puisque somes, tels des zombies, s'exécutent.
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Gloser sur le génie de l'auteur
El maratón comienza con un monólogo extraído de El hombre assis dans le couloir. La comediante Founémoussou Sissoko, en una semioscuridad, salmodia, micro a la principal, un acto sexual. La secuencia produce el encanto de una ceremonia vauda. Después de una breve pausa, Gosselin nos propone una versión de un tubo de Duras: Bahía de sabana. Una puesta en escena très réussie que comienza con una cena en la bujía y termina atrocementada con una mesa en un hospital iluminado. Un extrait de El Amante (Interpretado por la notable Alice Da Luz Gomes) clôt la première partie.
Sur le trottoir, tirant sur leur tabac roulé, les zelateurs de la Duras entonnent leur Hare Krishna : « Duras, Duras, Duras… » Ils glosent sur son génie. Puis nous voilà irradiados par Hiroshima mi amorun autre classique qui, malgré la bonne volonté des comédiens Yanis Doinel et Violette Grimaud, est bien indigeste. Largo diálogo aux paroles banales – quel pathos ! – qui s'effiloche. Mais esta banalité a fondé le mythe Duras. Avec elle, elle a apporté la présence de la tristesse et de l'espoir humain. Después de una introducción musical (intro d'Ideas negras de Lavalliers), un monólogo – il s'agit d'une violento confesión – issu de La enfermedad de la muerte Interprétée par Rita Benmannana qui est face à una «interlocutrice» muette enregistrant ses propos. Se impone una pausa de cinco minutos: ya la cola en los baños.
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La puesta en escena de Susana Andler : assez grandioso
Nous atendions un des grands moment de la journée. Comentar Gosselin allait-il mettre en scène Susana Andleruna de las mejores piezas de la Sibylle de Trouville-sur-Mer. Ce fut assez grandioso, la frágil Suzanna sombrant, crescendo, dans l'alcoolisme nocturne et la folie. Después, un extracto de La vida matérielle qui valait son pesant de quinua. La comediante Lucile Rose, deguisée en Duras période mémé jupe à carreaux et pull col roulé, grandes lunettes en écaille sur ce visage de batracien, débite, souveraine et face caméra, des poncifs dont elle avait le secret. C'est dans este período « col roulé » (les années 1980) que la Duras envoûta le public, que sa parole devint celle d'une prédicaatrice. Alors, voilà le momento de La Douleur avec ce comédien élégant, imperturbable: Louis Pencréac'h. En este diario íntimo, Marguerite escribió el regreso de los campos de su hijo Mari Robert Antelme. Texte éprouvant sur un corps qui se reconstitue peu à peu après s'être vidé. ¡Ah, ce goût patologique pour la mort!
On reprend un bol d'air avec El amor inglés façon Gosselin, c'est-à-dire entre théâtre et video. La actriz Juliette Cahon en el papel de la madre Claire Lannes es grandiosa. Très comique dans son côté rusticique. La música deuxième ? Malgré l'excellence des comédiens, elle sonne toujours aussi faux. Nuestra visita au Museo Duras prit fin avec El hombre atlánticoun monólogo ridículo, saturé. Daño. Et pourtant la mayonesa a pris. On s'est laissé ensabler dans ces frases imponentes son rythme dodécaphonique d'un charme obsédant. Elles nous ont retenus sur notre siège como la lluvia detrás de la ventana vous retient au fond du lit.
Museo Durasau Théâtre Odéon-Berthier (París 17mi), julio 30 de noviembre.
