Fred Herzog, Charlotte Perriand, Martin Munkacsi, Vivian Maier, Seydou Keïta… Les tirages posthumes sont de plus en plus nombreux à Paris Photo, la grande foire de l'image fixe au Grand Palais, dont la 28mi edición se tient du jeudi 13 au dimanche 16 de noviembre. Mais ils advanced masqués. Sur les stands, ils sont souvent designés d'une périphse: « tiraje de la sucesión » (impresión de bienes), « tiraje tardío » ou juste « tiraje argentino con tampón de la sucesión ». Difficile de deviner, para los no especializados, que se agita en realidad de tirajes reales después de la muerte del autor por los derechos legales, a partir de los negativos.
Il faut dire que le mot «posthume», dans la photographie, a longtemps eu mauvaise presse. A finales de los años 1990, plusieurs escándalos avaient révélé que des œuvres vendues très cher et attribuées au Man Ray surrealista (1890-1976) ou à la figure de la photo sociale américaine Lewis Hine (1874-1940) étaient en fait des copys réalisées après leur mort par des escrocs sans scrupule.
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