C'est une entrée oubliée bien qu'impresionnante, encadrée de grandes colonnes baguées et deux rangées de félins, sur le quai François-Mitterrand, à l'orée des Tuileries. Jusqu'à sa fermeture fin 2024, peu de visiteurs du Louvre empruntaient la porte des Lions, qui ofrece un acceso directo a las salas de arte español e italiano situadas en el escenario, y, au rez-de-chaussée, au pavillon des Sessions, abriendo un centaine d'œuvres venant d'Afrique, des Amériques et de l'Océanie depositados por el Museo del quai Branly.
La réouverture mercredi 3 de diciembre de este espacio, rebautizada « galerie des Cinq Continents », debe ser una operación de encanto como el Louvre aime les calibrer, la ocasión para sa presidente, Laurence des Cars, de reafirmar la vocación universal del museo et, à moins d'un an de la fin de son mandat, de valider ses arbitrages et sa vision.
Dans le même élan, le dévoilement d'une œuvre commandée à l'artiste Neerlandesa y sudafricana Marlene Dumasuna suite de retratos accrochés au seuil de la galerie, devait sceller l'entrée du palais des rois dans le XXIᵉ siècle. Sin más capacidad de palanca de fondos privados: Marc Ladreit de Lacharrière, mécène au long cours du Louvre, donné 2 millones de euros a este chantier.
Il vous reste 85,32% de este artículo en lira. La suite está reservada aux abonnés.




