Un pied à Bruxelles, l'autre à Paris, les deux capitales où il promène ses chansons, Salvatore Adamo reçoit dans le séjour de son domicile de la seconde, près de la place de l'Etoile, secteur privilégié par les artistas de variétés. Entre las paredes recuperadas de cuadros y trofeos, la mirada se detiene en el dibujo de un amigo, el representante Jacques Brel. Il est signé Octave Landuyt, pintor belga muerto en 2024, a la edad de 101 años. « Un des plus beaux elogios qu'on m'ait fait, mais involontairement, c'était lors d'une émission de Marc-Olivier Fogiel, comenta Adamo. arno (1949-2022) venait de chanter Las niñas del borde del maret Fogiel a demandé à (el animador) Christophe Dechavanne, qui était invité, s'il savait de qui était la chanson. Dechavanne respondió: “De Brel, non ?” »
Ainsi est Adamo, qui d'une méprise vexatoire pour son tube balnéaire de 1964 a retenu l'éloge. A 82 años, el séducteur italo-belge se dit toujours animé par «La llama del debutante»como el canto dans Vivir antes que todo, nueva canción propuesta en son copieux recueil Des nèfles et des groseilles… : « De hecho, j'ai de plus en plus le trac. Surtout que je travaille toujours sans Prompteur. C'est comme ça que j'ai appris le métier – si c'en est un –, en voyant Brassens sur scène à Bobino. Alors, j'ai peur du trou de mémoire. Et peur que le public ne soit pas là… »
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