
Des hanches généreuses, une taille fine, une poitrine volumineuse: dans l'imaginaire Collectif, ces formes seraient la firma d'une femme «très fertile». De muchos discursos pseudocientíficos afirman que los hombres están evolucionando para detectar, por un golpe de obra, la capacidad de una partenaria para tener muchos niños. Derrière cette idée, una promesa segura para ciertos, angustia para otros: le corps donnerait un «score biologique de fertilité». Una vasta revista sistemática publicada en 2025 en la revista Ciencias Humanas Evolutivas vient pourtant refroidir esta historia séduisante. Et leurs résultats surprennent, autant par ce qu'ils montrent que par ce qu'ils ne trouvent pas.
Les hanches larges et la poitrine généreuse prédisent-ils vraiment la fertilité ?
Las psicólogas Linda H. Lidborg y Lynda G. Boothroyd compilaron 19 estudios, agruparon 31 échantillons de 16 países y más de 125 000 mujeres, para verificar si
características físicas femeninas bien précises annoncent réellement le nombre d'enfants, de grossesses ou de petits‑enfants, ou la survie des enfants.
Pequeño rappel: la teoría de la selección sexual supone que ciertos rasgos corporales, acentuados entre las mujeres, son favoritos porque señalan un fuerte
fertilidad. En moyenne, les femmes ont un rapport taille-hanches plus bas, davantage de graisse sur les hanches et les fesses, des seins permanentes, une voix plus aiguë, moins de masse musculaire et un ratio 2D:4D (index plus long par rapport à l'annulaire) plus élevé que les hommes. Según esta teoría, los hombres prefieren estos rasgos porque indican que una partenaire puede concebir más fácilmente y lograr más niños en el curso de su vida.
Para probar esta idea, Linda H. Lidborg y Lynda G. Boothroyd recensé los trabajos disponibles. «Les chercheurs en évolution sooutiennent depuis longtemps que les hommes hétérosexuels sont attirés par des traces 'féminins' chez les femmes, comme des traces du visage plus féminins, un corps aux courbes marquées et une taille fine, parce que estos traces pourraient signaler une fertilité plus elevée«, explicado en PsyPost. L'équipe a retenu les études qui mesurent la taille des seins, le rapport taille-hanches, la voix, la force physique ou le ratio 2D:4D, et les compare à des indicaurs directs: nombre d'enfants, grossesses, âge au premier et au dernier enfant. Aucune Este estudio no relaciona la feminidad del rostro con una fertilidad observada.
Hanches, seins, voix, doigts… Des signaux de fertilité finalement très incertains
Los resultados no confirman el escenario clásico según las formas tres femeninas que garantizan un éxito reproductivo superior. Pour le rapport taille-hanches, huit études montrent plutôt que les femmes au ratio plus élevé, donc à la silueta menos «sablier», ont souvent eu plus d'enfants. Les auteurs y voient surtout l'empreinte des grossesses: la taille s'élargit après plusieurs naissances. Une solo estudio permite medir esta relación antes de toda maternidad, no se encuentra ningún gravamen con el nombre de los niños últimos.
Para otros rasgos, la constancia es también prudente. Les trois échantillons ayant testé la taille des seins aboutissent à des gravámenes tour à tour positifs, négatifs ou inexistants avec le nombre d'enfants. Deux petites études sur la hauteur de la voix donnent, là encore, un efecto presente chez les femmes Himbas en Namibia mais ausente chez les Hadzas en Tanzania. Finalmente, 7 trabajos sobre la relación 2D:4D no son relevantes para aquellas correlaciones très faibles, ya que esta relación n'est preque jamais invoqué comme critère d'attractivité.
Pourquoi le lien traces féminins-succès reproductif reste à prouver
En conclusión, esta investigación indica que las preuves actuelles ne suffisent pas à soutenir l'idée que les traces physiques féminins sont des Indicators fiables de la capacidad reproductiva. La hipótesis de evolución es ampliamente aceptada, según las características de los hombres que señalan la fertilidad, gracias a fondos empíricos sólidos. de plus la plupart des études sur le sujet s'appuient sur un nombre réduit de participantes et parfois issues de pays industrialisés où la contraception est largement répandue (ce qui masque les gravámenes naturales entre biología y reproducción, la taille de la famille étant plus un choix que le seul reflet de capacidades reproductivas).
«Les données actuelles ne démontrent pas que les femmes aux traces plus féminins soient plus fertiles que celles qui en ont moins»declaró Lidborg a PsyPost. «Esto no significa que el gravamen no existe, pero simplemente que, para el instante, aún no se confirma. En nuestro artículo, recomendamos la prudencia en la medida en que se repita esta hipótesis, falta de preuves suficientes en este día»..




