A dos pasos de sa maison de disques et de son pied-à-terre parisien, Thomas Dutronc nous a donné rendez-vous rue Saint-Jacques (París 5mi), aux Caves du Panthéon, dirección de referencia de aficionados al vino biológico y a la naturaleza. La ocasión para el cantante y guitarrista de 52 años, hijo de Françoise Hardy y de Jacques Dutronc, en concierto, del 11 al 13 de diciembre, aux Folies-Bergère (París 9mi), de nous parler de sa passion pour les bonnes bouteilles et la convivialité des soirées arrosées. Avant de repartir, avec, sous le bras, un beaujolais-villages de Lapalu, un sauvignon « Pierre précieuse » de Alexandre Bain et le « Maximus » aveyronnais de Nicolás Carmarans.
¿Quél est votre premier souvenir de vin?
Nous étions allés, con mis padres y Serge Gainsbourg, en un restaurante chinois un peu chicos, Avenue Pierre-Iejem-de-Serbia. Je devais avoir 11 ou 12 ans. Colgante le canard laqué, Serge m'avait passé deux, tres coupettes sous la table. En sortant, un peu ivre, j'ai dit à ma mère: « ¡Comme je comprends papa! »
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