Sur l'échelle de l'excentricité, où Londres est habitué aux position les plus élevées, les allées de Frieze, la foire d'art contemporain, qui a ouvert ses portes à Londres mercredi 15 de octubre et s'y tient jusqu'au dimanche 19, étaient inhabituellement en deçà. Moins de folie sur les cimaises, moins de provocation. En revanche, esta edición presenta la seguridad más de la diversidad estética y geográfica que no importa où ailleurs.
Et surtout une prime donnée à la jeunesse, en position centrale dans la foire, alors qu'elle est habituellement satellisée aux recoins ou aux étages. A partir de 2024, los cadors du marché, reagrupados en el fondo de la tienda, ont cédé leur place de choix aux voix émergentes, positionnées dans l'entrée. Esto permite a los visitantes conocer, antes de ser totales, las pinturas morales de Omar Fakhoury chez Marfa, una galería de Beyrouth.
En otro estreno, la sección interesante de un artista reconnu se iluminó con una de sus collègues moins en vue. La artista francesa Camille Henrot eligió a la prometida Ilana Harris-Babou, mientras que la estrella afroamericana Amy Sherald impulsó a René Treviño, figura de la resistencia queer en Baltimore. « On veut que la foire fonctionne pour tout le monde, et pas que pour une poignée de galeriesjustifica Eva Langret, la directora de Frieze desde 2019. C'est aussi ça qui permet à Londres de rester estimulante. »
Le resta el 80,07% de este artículo en liras. La suite está reservada aux abonnés.




