Ça c'est sûr, le metteur en scène Christophe Honoré sait faire du théâtre, et très bien. Un teatro orgánico, pas congelado, un teatro canaille, drôle et exceso. Un teatro vivante, que se viste con la vigueur de un adolescente affamé de jouissance sur una escena excitada par un asalto de imágenes, un flot de paroles y un déferlement de sensaciones. Vídeos mouvementées tournées en direct, películas aux couleurs sursaturées difusés sur ecran de cinéma, chansons de variété ou musique classique, diatribas mélancoliques et séquences parodiques, baisers mouillés et claques sur les fesses: el artista defiende la vague entre des courants contraires.
Créé à Lausanne, en Suisse, repris en ouverture du Festival TNB à Rennes avant une longue tournée française, son spectacle Señora Bovarydespués de Señora Bovaryde Flaubert, a tout pour plaire, que l'on soit, ou non, lecteur assidu de l'auteur. Malgré una escena final, una persona rata y una propuesta éloigné de este continente. estricto sentido de las páginas del libro, esta representación, que reunió un punto de honor al salir ce qu'elle embellet en se hissant au-dessus d'une consensuelle séduction, gagne sa place à la table de l'art. Pas n'importe quel art: celui que célèbre Christophe Honoré doit à Victor Hugo (plus qu'à Gustave Flaubert) son temperamento de fuego y son goût résolu pour le mélange des géneros.
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