CRÍTICA – Un roman et un ensai vagabond nous rappellent qu'à Jersey et Guernesey le poète est devenu le plus grand écrivain marin de la littérature Universelle.
Dans La Mer en la literatura francesa (Robert Laffont, « Bouquins »), l'anthologie qui lui tenait tant à cœur, publiée une dizaine d'années avant sa mort, Simón Leys una reserva de aproximadamente 200 páginas Víctor Hugo. Sans faire duelo au poète d'avoir peuplé l'océan de créatures visqueuses – « Les monstres sont à l'aise en sa profondeur glauque ;/ La trombe y germe ; il a des gouffres inconnus/ D'où ceux qui l'ont bravé ne sont pas revenus » -, l'essayiste et sinologue belge tenait le reclus de Guernesey pour le plus grand écrivain marin de la littérature Universelle.
« Nuestro gran poeta, hélas ! », celui que le poeta bretón Tristan Corbière nommait effrontément le«Guardia Nacional Épica »,n'a pas seulement raconté la mer. En Granville, en 1836, en la isla de Jersey entre agosto de 1852 y octubre de 1855, en Guernesey durante los últimos cinco años, de 1855 a 1870, en un affronté l'océan démonté, essuyé des tempêtes, connu la vie à bord de petits navires.
En un souvent raconté los años…




