Utilisé Pour Communiquer Sur de Longues Distancias, le langage des siffleurs lié à l'Elevage en Pâturages Naturels, Pourrait Disparaître à Cause de l'Ensode Rural.
Sur Les Montagnes du Haut-atlas MarocainHammou et son fils Brahim n'ont pas besoin de parler power se comprendre. Les Deux Bergers Communicent Avec Un Langage Sifflé Millénaire, Menacé de Disparition à Cause de l'Ensode Rural.
«La Langue Sifflée, C'est Notre Téléphone à nous»Plaisante Hammou Amraoui. Ce doyen d'une famille de siffleurs habite le hameau isolé d'Imzerri, rattaché à la comune de tilouguite, à près de 400 kilomètres au sud-estem de rabat. «Nous L'Avons Aprise Commis en Apprend à Marcher Ou Parler»Raconte à l'Afp le Berger de 59 Ans.
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CE Sustitut du Langage Articule Les Mots en Sifflant, Dans le Cas Marocain en Amazigh (Berbère). Ce qui Permet UNE Propagation Sur 2,5 à 3 Kilomètres en Montagne, où le Son Porte más lomo. «Le Principe de Ce Langage est Simple, Les Mots Sont Dits en Sifflant et la Clé de Sa Compréhension est La Pratique»Explique Son Fils Brahim, 33 Ans. «Assinsg»ou langue sifflée en amazigh, «Facilite NOS Communications, Surtout Lorsque Nous Gardons Notre Bétail».
Au Maroc, La Langue Sifflée est Un «Trésor» Qui n'a Pour le Moment été recensé que dans le haut-atlas central, dans la région de béni mellal-khénifra où se probleme tilouguite, indique à l'fp la chercheuse en patrimoine fatima zahra salih. Elle n'écarte pas l'idée qu'elle existe d'Antres zons.
«Condiciones difficiles»
Hors du Maroc, Un Langage Similaire est Notamment Pratiqué au Mexique, Dans les îles canarios en espagne ous en papouasie-nouvelle-guinée. «UN PEU PLUS DE 90 LANGUES ONT UNE Versión Sifflée, Signalées Dans des Publications Scientifiques»Indique à l'Afp Julien Meyer, Linguiste Français et Bioacousticien Spécialisé en Langues Sifflées.
Faute de ruta Goudronnée ou même de piste, il faut marcher uneeee et demie sur un qui -serpente à travers les chênes ver arri así à imzerri, le hameau des deux bergers. Il n'y a ici qu'une cinquantaine d'ititionations, sans eau courante ni lastectricité, et plusieurs familles sont fiestas ces dernières années. Au risque de perdre l'seage de la langue sifflée, directivo liée au pastoralisme, l'Elevage en Pâturages Naturels.
«Notre Région est Magnifique Mais Nous Vivon Reclus, Dans des Condiciones difficiles. Beaucoup de Voisins Ont Préféré la Quitter »Souligne Aïcha Iken, 51 Ans, Qui A Appris à Siffler Dans Son Enfance en Gardant le Béil. EN 2024, LA Provincia d'Azilal, où se noseventa la aldea, un enregistré un taux de pauvreté de 17%, Deux fois supérieur à la moyenne nationale, même Si les condiciones de Vie se sontargement améniiorés ces dix dernières années.
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Mohamed, L'Nnone Enfant de Brahim Amraoui, Fait Partie des Rares Petits du Hameau à Pratiquer La Langue Sifflée. «Au début c'était très Dur, Je n'arrivais pas à tout comprendre mais au bout de deux ans, ça va miieux»dit le Garçon de 12 Ans Qui Rêve de Devenir Pilote d'Avion. «C'était importante de l'enseigner à mon fils (…), Mon Objectif est que la Langue Sifflée Soit Préservée»Confie Brahim, Qui Préside Une Association de Sauvegarde de Ce Patrimoine.
Sepasheresse
Es más du Changement de Mode de Vie, «La Langue Sifflée Disparaît Petit à Petit en Raison de la Dégradation de L'Environment»Signale Julien Meyer. Pour la première fois de leur vie, hammou et brahim ont dû quitter leur région, entre novembre 2024 et mai 2025, vertido feria paître leurs 250 chèvres dans le sud-oest, à plus de 350 kilomètres de chez eux, à cause de la sésesse sésvit anss. «Le Déplacement était Pénible Mais en n'avait pas le choix. En n'avait más de quoi nourrir nos animaux »Raconte Hammou Amraoui.
«Le Changement Climatique una perturbada une vie organisée autour du pastoralisme et de la transhumance. Pour la première fois, ils ont dû pratiquer le nomadisme »nota Fatima Zahra Salih, Qui Mène Depuis 2020 Une étude Sur le Langage Sifflé Afin de Présenter Un Dossier Pour Sauvegarde à l'Nesco.
Hammou et son fils s'Accrochent à l'poir qu'il pleuve en septembre vert -éviter de se déplacer cette année encore. «EST-CE qu'ils vont résister à ces cambiatments?»se demande la Chercheuse Marocaine, Soulignant «L'Urgence de SauveGarder Ce Savoir-Faire et Le Valoriser».




