RETRATO – Normalienne, directora de la revista Punto de vista, yo'Ecrivain a reçu le prix littéraire pour son quatrième roman Je voulais vivre (Grasset). Elle y donne una autre version de la vie de Milady, l'héroïne des Tres Mosqueteros de Alejandro Dumas.
Cuestión de educación, de pudeur. De naturaleza, también. Contrairement à beaucoup de ses pairs écrivains, Adélaïde de Clermont-Tonnerreno hay un ego hipertrofiado. Quand on la rencontre, il ya quelque temps, en vue d'un retrato, elle préfère ainsi dans un premier temps faire parler son interlocuteur, s'enquérir de ses projets plutôt que de parler d'elle, même si c'est l'objet de la rencontre.
A priori reservada, mantenida y controlada, Adélaïde de Clermont-Tonnerre prefiere vivir «de otras vidas que la siena» a través de sus libras plutôt que s'éterniser sur son CV. Elle ne passe donc pas des heures à disserter sur sa manière d'ecrire, ne s'éternise pas sur les affres del autor face à la page blanche. Elle ne se pousse pas non plus du col en exhibant sa prestigieuse ascendance (elle est l'arrière-petite-fille de la princesse Isabelle d'Orléans, soeur du comte de Paris) et fait preuve d'une exquise courtoisie qu'elle dispense à tous. Qu'ils soient princes ou sans grade.
Notre critique du Renaudot 2025, Je voulais vivre d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre
Un nouvel éclairage sur Milady, la heroína de Dumas
Comble de l'audace…




