El realizador británico está muerto en la Creuse a los 90 años. Son cinéma politique engagé contra la guerra de Vietnam y el conflicto atómico témoigne d'une époque autant que ses retratos de artistas.
En s'y croyait. Filmer de ficciones a la façon d'un documentaltelle était sa marque de fabrique. Peter Watkins, nacido en 1935, avait creusé ce sillon avec efficacité. Le cinéaste britannique avait commencé, après des études de théâtre, par tourner des films publicitaires. Son pacifismo le poussa à se lancer très vite dans une autre voie. La crítica del comentario para La bataille de Culloden (1964) qui décrit comme un reportage l'affrontement entre l'armée anglaise et les Highlanders écossais qui eut lieu en 1746. Privilegio (1966), con el cantante Paul Jones, s'attache à la fabrication d'une rock star. La bomba (1967), qui fut commandée mais pas diffusée par la BBC, glace le sang. Le réalisateur reconstitue avec vérisme et minutie ce qui se produirait en cas d'attaque nuclear soviétique sur les bases américaines situées dans le Kent. On y voit les populations évacuées, une famille frappée dans son salon, les traumatismes et les brûlures qui affligent les victimes. Un oscar récompensa…




