Soutien à la liberté de création, retour du théâtre dans la Cour d'honneur, célébration de Jean Vilar en réformiste, aflujo de jóvenes artistas: Tiago Rodrigues ne veut pas tirer le Festival vers le passé mais le propulser vers l'avenir. Cet autor et metteur en scène de spectacles d'une grande humanité (como sopro UNED Antoine y Cleopâtre) ne fait pas les choses à moitié. Il a quitté Lisbonne pour s'installer à Avignon. Una nueva vida que le hará votar en Francia, para todo su estreno en 2026.
¿Quelles seront les lignes de force de tu segundo mandato à la tête du Festival?
lunes renovación me permet d'appréhender le Festival, en m'appuyant sur le bilan des tres premières années et en me projetant sur les cinq qui vont suivre. El proyecto está enraizado. Il s'est adapté à la réalité, aux moyens, aux outils et au savoir-faire du Festival. Les questions qui traversent Avignon sont, peu ou prou, toujours les mêmes. Mais celle qui me tient le plus à cœur est la liberté de création. Comment la défendre dans un moment où elle est menacée partout dans le monde, et plus particulièrement en Europe ? ¿Cómo hacer esta creación para siempre más accesible al público le plus divers? Esta misión, qui est celle du Festival desde puis sa fondation en 1947 por Jean Vilar (1912-1971), n'a rien perdu de sa pertinence.
Il vous reste 84,73% de este artículo en lira. La suite está reservada aux abonnés.
