FRANCIA 2 – JEUDI 9 DE OCTUBRE A 22 H 50 – DOCUFICCIÓN
« La Francia a peur. » En cuatro palabras, el presentador de «JT» de TF1, Roger Gicquel, señala y justifica la animosidad que planeó en el Hexagone el 18 de febrero de 1976, después del arresto de Patrick Henry. Este último est acusado de haber hecho lo mismo con Philippe Bertrand, un niño de 7 años, después de haberlo enlevado y reclamado un rançon. En quelques archives courtes et efficaces, son sort est scellé. Souriant lorsqu'il comprend qu'il est filmé, un garçon crie : « ¡Un poco más Patrick Henry! » Cuando, fijando el objeto, Michel Poniatowski, como ministro del interior, declara: « Si j'étais juré, je le condamnerais à mort. »
Jusqu'à l'arrivée (autre archive) del abogado Robert Badinter, determinado, au tribunal de Troyes. Quatre ans auparavant, il n'a pas pu empêcher que son client, Roger Bontemssoit condamné pour crime, comme son complice Claude Buffet, dans ce même tribunal. Les deux seront guillotinés le 28 de noviembre de 1972. Después, il a fait de l'abolition de la peine de mort son combat. Le procès qui débute va lui ouvrir la voie, jusqu'au 9 de octubre de 1981, jour de la fin de la peine capitale.
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