Sur une planche de BD, sur un muro de la galería Martel, en París, un homme dialog avec une souris à propos de la guerre dans la bande de Gaza. « Tu dirais que c'est un genocidio ? »demande l'un. « Genocidario, disons », lui responde al otro, como si el adjetivo permitiera introducir un quelconque eufemismo. L'homme est Joe Sacco, né à Malte et père du reportage en bande dessinée, connu pour son engagement en faveur de la causa palestina, autor de Guerra en Gaza (Futuropolis, 2024), un folleto que denuncia la ayuda del antiguo presidente de Estados Unidos Joe Biden en Israel. L'animal est Art Spiegelman, autor americano mundialmente famoso para Maus (Flammarion, 1986-1991), l'œuvre dans laquelle il raconte le génocide des juifs par les nazis à travers le témoignage de son père, les premiers étant représentés par des souris, les second par des chats.
Les deux géants de la bande dessinée se sont chacun mis en scène dans esta exposición, intitulée « Never Again !… And Again… And Again… And Again » (« Plus jamais ça ! Et puis encore… Et encore… Et encore »), como para insistir en el ciclo infinito de la violencia y las représailles. Sur un mur, les originaux soignés jusque dans les infimes détails, extraits du livre de Joe Sacco. En face, un fatras de crayonnés réalisés sur des bouts de papier-calque, caracteristicas du travail d'Art Spiegelman, densas y laboriosas, et dans lequel s'immisce celui de Joe Sacco.
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