L'AVIS DU «MONDE» – À VOIR
La condición : le titre est jeté comme un caillou, mat ou miroitant selon l'angle de vue, aussi abrupt qu'ambigu. ¿La condición? ¿Qué condición? Título más tranchant que celui, nébuleux plutôt que lapidaire, du roman que le film de Jérôme Bonnell adapte: Amoresde la violoniste et écrivaine française Léonor de Récondo (Sabine Wespieser éditeur, 2015).
Todo el debut del XXmi siècle (1908, así es como se indica, con una curieuse précision), en Francia, André (Swann Arlaud), notario, et sa femme Victoire (Louise Chevillotte) vivent dans une demeure bourgeoise, sise dans une bourgade qui n'est pas exactitud localisée. Ils cohabitent, plutôt: quand bien même ils se parlent câlinement, Victoire ne s'astreint qu'épisodiquement au « devoir conyugal », réduit au minimo. L'essentiel des soirs, elle se couche seule dans la chambre, tandis qu'André dort dans le Bureau de son étude, sur un modèle précurseur de lit pliable.
Ils cohabitent aussi en ce que leur intimité cloisonnée doit compositor con otros habitantes: la mère d'André (Emmanuelle Devos), alitée et aphasique depuis une attaque, acariâtre et venimeuse dans les message qu'elle écrit à la craie sur une ardoise, mais aussi deux domestiques, dont la jeune Céleste (Galatea Bellugi). La meticulosidad del conjunto, que podría convertirse en una manía antigua, está allégée ou contrabalancée par un sens sure de la elipse.
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