Avis de tempête sur le Centre national des arts plastics (CNAP), creado en 1982 pour soutenir la scène française, mais dont les collections, riches de 108 000 œuvres, remontent à la Révolution. Ven El Mundo l'avait révélé en julio, un rapport de la Cour des comptesno les observaciones definitivas ont été rendues mercredi 19 de noviembre, préconise de supprimer l'opérateur d'ici à 2030 et de redistribuer ses missions: au ministère de la culture, tout ce qui relève des aides à la Production, à l'exposition et à la publicación; au Centre Pompidou et au Mobilier national la gestión, la difusión y el enriquecimiento de la colección.
A lire l'audit conduit par un magistrat au profil très politique, el ex diputado Les Républicains du Vaucluse Julien Aubert, un proche del ex ministro de interior Bruno Retailleau, rien ne va. Le CNAP souffre, junto a la Rue Cambon, d'un « modelo económico insostenible » et d'une efficacité limitée. El impacto de ses aides serait faible, sus adquisiciones trop concentrées sur quelques galeries, la difusión como el recuerdo de las obras lagunares. Les règles déontologiques aussi semblent insuffisantes: entre 2016 y 2024, una sociedad de edición, cofinanciada por un salario del CNAP, tocó 75.000 euros de asistentes directos y concluyó por 40.000 euros de contratos de coédición con el establecimiento.
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