Le bijou impérial, derrobé lors d'un braquage au Louvre dimanche, a été retrouvé endommagé à l'extérieur de l'enceinte du musée.
Quelque 1354 diamantes, 1136 rosas y 56 émeraudes sertis dans l'or ciselé de huit arceaux en forme d'aigle ou de palmettes: telle est la couronne de la imperatriz Eugeniaqui Un été dérobée dimanche au Louvrepuis retrouvée endommagée près du musée. C'est la seule couronne préservée, avec celle de Louis XV, d'un souverain français.
Ses arceaux se rejoignent sous un globo sommé d'une croix. Pour la couronne de son époux l'empereur Napoléon III, une grande partie des diamants de la Couronne avait été utilisée ; pour celle-là, la participacion fut donc moindre. Les émeraudes en revanche appartenaient à l'empereur.
Los motivos del águila y de la palma son recurrentes en el símbolo imperial. La corona de Napoleón III devait être de la même forme mais a aujourd'hui disparu.
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Adquisición por el Estado en 1988
Lors de l'Exposition Universelle de Paris en 1855, ce souverain voulut présenter ce fonds des diamants de la Couronne, remonté à esta ocasión. Alexandre-Gabriel Lemonnier (vers. 1808-1884) fue el encargado de la realización de dos objetos. La construcción general fut confiée au joaillier J.-P. Maheu et Lemonnier montan les pierres précieuses. Todos los dos recibieron una medalla de plata en la Exposición Universal.
Les aigles avaient été modelés par les frères Fannière: Auguste le sculpteur (1818-1900) et Joseph le ciseleur (1820-1897). Estos dos artistas fueron empleados por los más grandes orfèvres de París y también obtuvieron una medalla de plata.
La couronne a été restituée à l'impératrice en exil en 1875, léguée par elle à la princesse Marie-Clothilde Napoléon, condesa de Witt et acquise par l'État avec la participación de M. Roberto Polo en 1988. Elle est d'habitude exposée au Louvre, conservée dans les vitrines Blindées du Département des Objets d'art du Moyen Âge, de la Renaissance et des temps modernes.




