
Cada año, c'est la même question pressante: «¿Qu'allez-vous faire le soir du 31?»… Si se reúne entre amigos puede ser un placer, llega qu'on manque d'opportunités… ou qu'on ait tout simplement envie de rien. ¿Un título justo? ¡Voici (enfin) la buena respuesta!
La velada del 31: una orden para la fiesta
S'il existe de muchas maneras de celebrar la Nouvel an – en boîte de nuit, entre amis, au restaurant ou dans son lit – esta velada debe estar definida. Dès le mois d'octobre, la question est sur toutes les lèvres : «Et toi, tu fais quoi le 31 ?«. Une injonction à la
fiestaqui marque le début d'année… et qui donne le ton des mois à venir (plus le nouvel an sera festif et instagrammable, plus l'année s'annoncera riche).
Para autant, esta voluntad de celebrar, esta búsqueda de
el ivresse n'est pas un choix personal: il est dicté et régi par la société. Celui qui ose «no rien faire» – et l'assume, devant les autres – est montré du doigt. Pire encore, il est vu comme une menace, une personne «à part», qu'il faudra exclure rapidement de la bande.
«Faire la fête au Nouvel an, ce n'est pas un choix personal, c'est d'abord lié à des normes sociales. La pratique festiva est régulée socialement. On a besoin de se montrer sur les réseaux sociaux, mais aussi de se retrouver avec les autres dans la vie réelle. La fête c'est nouer des Relations fortes, Amigos más aussi sexuels»analiza Christophe Moreau en el sitio
Pizarrasociólogo Especialista en prácticas festivas..
En resumen, le 31 est un drôle de rituel, fantasmé et surtout travaillé (tenues correctes exigées, mets raffinés dans l'assiette), qui ne laisse aucune place au hasard: on se doit d'être heureux, «pArce que cela nous donne le sentiment d'exister»afirma auprès de LCI el sociólogo Rémy Oudghiri.
«Personne n'ose asumir le fait qu'il ne fera rien de spécial le 31 decembre, car cela veut dire qu'on n'existe pas vraiment, qu'on ne vit pas des elegidos intensos, que sa vie est ennuyeuse», analizar-t-il.
Alors, faut-il vraiment passer par la case «fête» ce soir-là ?
Para Amélie Boukhobza, psicóloga clínica, no es una obligación.
«Todo el mundo no tiene envidia de celebrar el Nouvel An et c'est parfaitement normal. Il ya toujours l'idée qu'on devrait marquer un tournant, clore une année ou en comenzar une otro en fanfarria. Mais, chacun vit ce moment à sa manière, et parfois, ça passe aussi par ne rien faire du tout. Ciertos préfèrent le calme, un momento de introspección, une
velada de amor ou tout simplement rechazo de céder au rythme impuesto par les attentes des autres»,
souligne-t-elle.
La bonne actitud à adopter dans ce cas ? «Respecter ses propres envidias«, confirma Amélie Boukhobza.
«Rester chez soi avec un bon livre, looker una film ou même
se sofá antes del minuto ? Está bien también. Faire la fête n'est pas una obligación, pero una elección. On a tout à fait le droit de l'adapter à son énergie, son envie et ses besoins du moment»,
conclusión-elle.




