CRÍTICA – La última pieza de Pascal Rambert es el estreno de una trilogía que se remonta a 2029. La historia de una familia de nuevas y antiguas generaciones de comediantes, dont Jacques Weber y Anne Brochet, se enfrentan para nuestro mayor éxito.
Toda la familia es una enorme masa de quincaillerie más o menos organizada y Pascal Rambert en connaît les justes et fausses valeurs. El espectador, desde el debut, está prolongado en este recorrido universal y se une al suivre, a través de dos enterrements et dos mariages, los diferentes miembros de esta tribu bien secouée.
Todo el camino, voilà le patriarche. Il s'appelle Jacques (interpretado por le grand et imponente) Jacques Weber), antiguo diputado austère, eminente psiquiatra y lingüista. ¿Jacques como Lacan? Il représente l'intellectuel engagé typique des années 1970. Sa mère vient de décéder à l'âge de 106 ans. Elle était philosophe spécialiste de Heidegger. S'était penchée sur l'engagement del' autor d'Être et Temps dans le nazisme, elle qui cacha des juifs colgante la guerra.
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vodevil cerebral
La pieza comienza donc par un enterrement. L'urne (en forma de grosse goutte bleue grotesque) de l'aïeule trône sur una table. Autour de cette mort, la vie, mesquine, continúa. Jacques est marié à l'Italienne Marilù (notable Marilù Marini). Le Couple (libre) a dos hijas: Anne (Broche) – une radiologue qui se rêve écrivain mariée à Arthur (Nauzyciel), un diplomate depressif depuis qu'il a été muté à Tuvalu, un archipel polynésien – et Audrey (Bonnet), una normalienne agitée aux longs cheveux, socquettes blanches et souliers noirs façon Angélica Liddell Don't il serait une admiratrice. Audrey y su esposo Stan (Stanislas Nordey), un énarque devenu diputado en Corrèze, pero ella en todos los tiempos es amoureuse du ténébreux Laurent (Sauvage), una camarada normal en una especie de prisión, condenada para avoir tiré dans les jambes d'un militant d'extreme droite.
Aucun repito
Et puis, il ya la nouvelle génération, celle des petits-enfants: Lena (Garrel), la fille d'Arthur et d'Anne. Elle est lesbienne et va se marier con Mathilde (Viseux). Il ya Jisca (Kalvanda), hija de Stan y Audrey, asistente parlamentaria que, ella, s'apprête à épouser Paul (Fougère), un comediante. Las consecuencias est une pièce courant d'air, una especie de vodevil cérébral survolté (les plombs sautent les uns après les autres) qui se joue sous une grande bâche blanche, ce genero de tente qui abrite les noces, ces fêtes qui n'en sont pas vraiment.
Onze comédiennes et comédiens se partagent l'affiche de ce feu d'artifice qui nous laisse aucun répit. Il ya plusieurs morceaux de bravoures, telle esta discusión entre Anne y Arthur (la escena del estacionamiento) o el monólogo brillante de Mathilde que recadre sus padres drapeados en su egoísmo. El individualismo es el sujeto central de ces Consecuencias. Les conséquences de nos actes et de nos paroles. La vie de famille et ses mesquineries sont ici étalées devant nous sans moraline ni compasión. On tire des chèques en bois Spirituels endossés avec humor et gravité. Pascal Rambert a réussi une curieuse sarabande où s'entrechoquent les générations, les Illusions perdues, les amours déçues, les grands esprits (souvent insupportables) et les petitsarreglos. Alors on chante, alors on danse. La vida como ella coule. La vida como un caos de emociones.
Las consecuencias, en el Théâtre de la Ville-Sarah-Bernhardt (París 4mi), en el cuadro del Festival de Otoño, el 15 de noviembre.




